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Il est des artistes qui ouvrent les portes. Dans un sens imagé, mais aussi littéral.
Julien Carreyn ouvre les portes, regarde ce qu’il peut y trouver et, si ce qu’il voit l’étonne, reste à savoir si ce sera quelque chose à filmer, à dessiner ou à photographier. Avec un modèle ou un acteur improvisé. Et puis pour quel projet. Julien Carreyn en a toujours plusieurs en cours. Et toujours autant en train de naître là, maintenant, alors qu’on est en train de visiter un magasin d’oiseaux exotiques dans un village de quelques dizaines d’habitants du centre meusien.
Julien Carreyn et Vent des Forêts – son équipe, ses bénévoles, son territoire – c’est une histoire qui semble faite d’envie de surprendre et de titiller l’imaginaire de l’autre. Une histoire d’entraide et d’échange. Quand il vient, avec un programme de tournage en tête, avec un planning réglé de travail, il y a toujours dans les agendas un temps laissé à la visite impromptue, à la découverte d’une habitante qui, « tu verras, a une collection de clochettes épatante ». Chaque visite qui devrait clôturer un projet lance l’envie d’en recréer un.
Julien Carreyn expose avec Ker Xavier, l’un de ces projets créé à Vent des Forêts, à la Galerie de Multiples, rue Saint – Gilles, dans le 3ème arrondissement de Paris, du samedi 7 janvier au samedi 11 février 2017.
Un travail réalisé avec le soutien de la galerie Crèvecœur (Paris), l’artisan-sculpteur Jean Bergeron et l’aide des bénévoles du Vent des Forêts.
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