RegardLes deux alisiers de notre flore, l’alisier blanc et l’alisier torminal cohabitent ici à quelques pas l’un de l’autre.
L’alisier blanc se reconnait à ses feuilles que vous pouvez ramasser sous l’arbre et qui persistent longtemps au sol. Elles sont assez grandes, ovales, effilées à la pointe, doublement et irrégulièrement dentées. Elles présentent des nervures nettement marquées. Leur dessous est couvert de courts poils cotonneux qui leur donnent un aspect feutré et une couleur presque blanche.
Flore
48° 55′ 32.2″ N 5° 25′ 23.7″ E
Cet exemplaire possède un tronc remarquable par son diamètre, déjà respectable pour cette essence, et par la rectitude et la longueur de son fût. Son écorce est lisse et brillante, signe que l’arbre est encore jeune. Elle est parsemée de craquellements ayant la forme de losanges, autre indice caractérisant l’alisier blanc. Ces petites fissures sont le siège d’échanges gazeux entre la partie interne de l’écorce et l’atmosphère. Elles servent notamment à l’absorption de gaz carbonique.
juin – octobre
Par temps venteux, le feuillage de l’arbre semble parcouru de vagues alternativement vertes et argentées.